Nicole Dambreville au Bisik ! Première partie : Pheelip Zora

Le vendredi 15 Novembre le Bisik vous propose une soirée qui promet d’être riche en émotions ! Nous recevrons en effet Nicole Dambreville qu’on ne présente plus et qui prépare discrètement un nouvel album avec son équipe dont on espère bien qu’elle nous révélera quelques titres ce soir-là… En effet cette grande dame de la chanson réunionnaise est une immense interprète des chansons de Piaf mais elle ne chante pas que les chansons des autres ! Sensible, généreuse et très inspirée notre chanteuse et comédienne nous entraînera dans un tourbillon d’émotions comme elle seule sait les créer…En première partie de cette soirée c’est Pheelip Zora qui nous invitera dans son univers funk et soul unique !
On a hâte !

Bio Express

Nicole Dambreville
Chanteuse et comédienne, Nicole Dambreville est née à Saint Joseph et reste toujours très attachée au sud sauvage.

Elle commence le théâtre au collège et écrit sa première pièce a 13 ans. Elle entre au lycée à 14 ans et continue la comédie. Elle intègre le célèbre théâtre Vollard en 1993. C’est au sein de cette compagnie, qui compte beaucoup de musiciens, que le chant commence à prendre de l’importance dans sa carrière artistique. Danyel Waro la repère lors de l’un de ses concerts. En 1999, elle chante Piaf et Aznavour et marque le public réunionnais avec ses interprétations de la Môme. Elle sera choriste pour Baster. Ses titres les plus célèbres sont : « Dan blan Kèr noir », « Exil », « Kompliman », « Mon lémè » ou « Ti Kaz mon kér ». Parallèlement elle a continué le théâtre et a joué dans des productions comme « Les Mariés de l’île Bourbon », « la Revanche des Femmes » ou plus récemment « Piaf Fait son cinéma » ou « Zistwar Fanm ».

Pheelip Zora
Né en 1972, Philippe Zora Rosalie est originaire du quartier de la Source – Camp Ozoux – à Saint- Denis. Il tombe dans la musique très tôt et chante à longueur de journée, chez lui, dans la rue. Il va de radio- crochet en télé-crochet qu’il remporte presque à chaque fois. Ses influences musicales sont éclectiques, entre autres Hervé Imare, Fred Espel, Nat King Cole, Stevie Wonder ou Henri Salvador mais c’est Al Jarreau qui sera son déclic et qui assoiera définitivement sa décision de devenir chanteur. Il deviendra son maitre à penser et Philippe deviendra « Pheelip ».
Agé de 18 ans, il fait une apparition éclair, a capella, au concert de fin de trimestre de son lycée et le 5 juin 1992, pour la première fois, Pheelip présentera une prestation A capella avec 3 amis Stéphane Allouche, Davy Sicard et Didier Kergrain. « Les College Brothers sont nés. Le succès est immédiat et tout s’enchainera très vite avec de nombreux concerts et premières parties dont la mémorable du concert de James Brown, le 23 Juin 1994.
Après ces 5 ans qui ont marqué l’histoire de la musique à La Réunion Pheelip se lance dans une carrière de choriste pour notamment Leïla Négrau et Apolonia.
2 Ans plus tard, il forme le groupe Free Jam qui sort un CD 4 titres dont le titre éponyme « Djembé », écrit et composé par Pheelip remporte le prix de la Meilleure Composition de L’Océan Indien au Festival Kréol des Seychelles en 2002.
En 2004 sort l’album « Free Jam » mais Pheelip quitte le groupe en 2005 pour enseigner le chant.
Durant les cinq années qui suivent, à dispenser son savoir- faire, le besoin d’un retour sur scène et surtout celui du partage avec le public, se fait grandissant. Mais ce n’est qu’en 2012 qu’il renoue avec les joies du live.
Depuis il continue d’enseigner sa passion et se produit sur de nombreuses scènes de l’île.

Extrait de presse

Nicole Dambreville
« Nicole Dambreville, une artiste réunionnaise, une femme libre

Chanteuse, actrice, maman avec un charisme hallucinant : telle est Nicole Dambreville. Elle a dû se battre pour arriver sur scène, lever des obstacles que certains auraient voulu dresser devant elle. »
7Mag.re

« On se souvient de l’incroyable prestation de Nicole Dambreville dans la création Piaf-Aznavour de 1999, qui sonnait comme une évidence. Ou encore de cette interprétation habitée des « Blouses blanches » dans le spectacle des Z’ACHarnés 2015. « En vérité, j’ai toujours chanté Piaf, depuis mes débuts chez Vollard », rappelle-t-elle.

Mais cette fois (Dans le spectacle « Piaf fait son cinéma »), la chanteuse-comédienne pousse le curseur plus loin, avec une création autour d’une Édith Piaf moins connue, celle du cinéma, en duo avec un autre Saint-Joséphois, Sébastien Payet. Mais aussi en incluant des hologrammes, utilisés pour la première fois sur une scène réunionnaise. »
Clicanoo